On a voulu tuer la liberté de penser

 



 

                     Aujourd'hui mercredi 7 janvier, on a voulu tuer la liberté de penser au pays de Voltaire, de Descartes et de Victor Hugo.  Nous sommes tous avec Charlie. Nous sommes tous des Charlie dont on n'étouffera ni l'humour ni la liberté de penser. Ni celle de s'exprimer, ni celle de "croire" ou non!


                      Nous tenons à notre démocratie et à la laïcité ainsi qu'au droit à l'impertinence!

 

                     Même et surtout si, pour servir une idéologie paranoïaque qui voudrait formater les pensées et les croyances au prétexte grossier d'un prétendu Dieu confisqué à leur image ringarde, sectaire et haineuse,  quelques pauvres types se sentant sans valeurs, sans repères ni idéaux devenus des fanatiques fermés et sans humour, ont voulu "punir" et étouffer notre liberté de pensée pour la profiler à la folie de leur idéologie toute puissante de haine de l'Autre.(1)



        

                   Attention de ne pas y réagir sur un même plan de façon symétrique!

 

                  C'est "fou"au sens de fanatique bien sûr!  Car au pays de Voltaire et de Victor Hugo, c'est voué d'avance à l'échec.

 

                   Mais encore ça va produire à mon avis, c'est en train de produire comme on le sent, l'effet contraire. 

 

                    Ça  va réveiller les consciences pour défendre et renforcer tous ensemble notre liberté. Ça nous convoque à rester debout et résister dignement pour ne pas sombrer dans une servitude anti-laïque moyenâgeuse qui nous dicterait par la menace et la terreur, le "sacré" et le religieusement ou le politiquement correct.

 

                  Samedi ou Dimanche, toute la France debout et unie, le dira encore. Je serai pour ma part au rassemblement en Avignon.

                                                                                                                                        Michel Berlin

 

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