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Où et qui sont les commanditaires propagandistes du totalitarisme islamiste conquérant?

Manifestation au Bangladesh de partis islamistes contre la France
Manifestation au Bangladesh de partis islamistes contre la France

 

 Où et qui sont les commanditaires propagandistes du totalitarisme islamiste barbare et conquérant ?

 

               On a les noms, les déclarations, les écrits et … la liste des crimes.

            

La prise de position claire et ferme de la France en faveur du maintien de ses valeurs républicaines démocratiques et laïques de liberté d'expression, y compris de caricaturer les dieux et les religions, ne consiste pas pour autant à s’en prendre aux personnes qui croient. A cette occasion, on voit bien qui se découvre orchestrer perversement des contre-vérités victimaires. Celles-ci, en fait, sont censées servir de ciment pour fédérer des troupes en suscitant leur colère et en leur faisant manifester leur haine contre la France.

 

Depuis la nuit des temps, on sait en effet qu'il faut désigner l'autre comme ennemi commun et le diaboliser pour galvaniser et endoctriner les troupes afin de constituer et renforcer tout pouvoir totalitaire.   Une foule, un groupe se structure sur un mode totalitaire par la mise en commun idéologique d'un même objet d'amour et d'un même objet de haine. C'est cette mise en comme UN qui fait lien unitaire. 

 

Et dans les groupes ainsi structurés sur ce mode totalitaire, l'illusion servant de lien le fait sur un mode hypnotique partiellement déréalisant et déresponsabilisant. "L"hypnose est une foule à deux" disait Freud. Dès lors les adeptes de l'illusion idéologique constituant le groupe sectaire ou religieux, en l’occurrence les islamistes et leurs bras armés endoctrinés, fonctionnent comme sous hypnose.

        

Il y a pour cela manipulation et incitation condamnable à la haine sur laquelle s’appuie le terrorisme. Ces pays, ces partis intégristes et leurs dirigeants jouent un jeu islamiste totalitaire dangereux.

            

Qui se laisse prendre à la perversion narcissique de ce jeu pour se poser en victime offensée comme fondement de sa haine meurtrière ?  Qui compte ainsi pouvoir, en toute impunité à ses yeux endoctrinés, au nom perversement renversé d’une liberté d’expression hors limites de la loi des Hommes, manifester sa haine et la volonté affichée de mettre en acte barbare sa violence contre cette prétendue "offense" de la France ? On les voit là avec effarement s’afficher ouvertement en nombre sur la scène mondiale.

             

On voit donc quels sont les Etats, les partis et les dirigeants qui font monter la sauce émotionnelle victimaire pour l'instrumentaliser de façon guerrière contre notre pays et ses citoyens. Ils le font, certes, par une sorte de surenchère au profit rassembleur de l'accroissement visé de leur puissance totalitaire islamiste sur tous les musulmans. Voudraient-ils par-là tenter de faire croire et établir par intimidation que c'est celui qui crie le plus fort qui a raison ? Il s’agit de susciter l’embrigadement fanatique de milliers de manipulés à coup de fausses propagandes sur nos intentions laïques qui les feraient passer pour des victimes humiliées et attaquées de notre vieux racisme colonial. Ils croient pouvoir peut-être dès lors blanchir ainsi toute « con » damnation (sic) de leur riposte coléreuse et des crimes commandités qui en découleraient. Comment et pourquoi imaginer que si dieu existait, il serait aussi bête et méchant.


          Et si c'était précisément d'effet contre-productif patriotique par le sursaut républicain suscité chez nous ?

    

Faut-il le répéter encore et encore : faire barrage à l’islamisme totalitaire n’est pas lutter de façon islamophobe ou raciste contre les musulmans. Car l’islam n’est pas l’islamisme.

 

Et peut-être même réciproquement.

     

Toujours le mécanisme de la projection et du renversement en miroir de la pathologie narcissique intolérante et suprématiste des endoctrinés de collectifs totalitaires : « ce n’est pas moi qui suis rempli de haine et d’orgueil dominant et intolérant, c’est l’autre qui m’en veut et qui m’offense en ne se soumettant pas, qui me provoque, et qui me légitime ainsi sans culpabilité à le massacrer pour me défendre ».

 

             

Comment faire entendre à qui le peut encore que la France respecte les croyants tout autant que les non-croyants. Pas moins, mais pas plus.

 

               

Ni elle les persécute, ni elle les stigmatise, ni elle cherche à les offenser comme ils le reconnaissent (1) eux-mêmes en majorité. Mais en revanche, la France, sur son territoire de souveraineté, ne laisse à personne d’autres qu’à ses libres citoyens le soin de décider pour elle et à leur place de sa politique, de ses valeurs (2) et de ses lois. Elle ne peut laisser quiconque, croyant ou non croyant, prôner et agir une volonté de domination suprématiste égocentrique en imposant sa pensée unique, ses tabous, son sacré et les particularités comportementales voire vestimentaires prosélytes qui en découlent, surtout quand elles servent d'insignes et d'étendards sur fond de combat suprémaciste, même si ça doit surprendre, frustrer, blesser un peu les narcissismes susceptibles et irriter. La sécurité de l'Etat et de notre République laïque est en jeu.

 

Personne n’est fondé, même s’il le voulait, à parler depuis l’étranger, pour et à la place des citoyens de France qui sont de confession islamique.  A fortiori pour tenter, par dangereuse ingérence inadmissible à valeur de manœuvre ennemie menaçant notre sécurité intérieure, de les "séparer" de leur République.

 

Nation libre et laïque, la France accepte et respecte la liberté de conscience et d’expression dans les seules limites de sa loi.  C’est à dire sauf quand cette "conscience" et son expression visent, politiquement par l'activisme et ses manifestations ostensibles, à contredire voire à supplanter ses lois, comme le font les menaces de mort contre les personnes qui caricaturent. Sauf, comme c’est le cas des islamistes, en appelant par des discriminations inégalitaires de sexes, de croyances, de préférences sexuelles et de lois, à la haine intolérante et hyper-égocentrique de l’autre et à la justification incitative moyenâgeuse « satanique » et « folle » de crimes barbares pour l’éliminer.

 

On ne peut pas opposer liberté de conscience et liberté de l’interdire ou de profiler et brider son expression. 

 

En France si on est heureusement encore libre de sourire et caricaturer, on n’est évidemment toujours pas libre de rouler à gauche, passer au rouge, inciter à massacrer ou … tuer ou faire tuer, ni même porter comme un défit à la République et à ses valeurs des insignes ou uniformes Nazis .

              

La France, par les paroles de son président, n’est évidemment pas l’auteur des caricatures incriminées, car il n’y a pas de presse gouvernementale. Elle les permet par liberté, ne les proscrit pas ni ne les prescrit. C’est subtil et différent. Pas d’amalgame à instrumentaliser de façon malhonnête.  La France n’incite à offenser qui que ce soit. Elle ne se fera pas dupe du renversement des causes pour ceux qui, fussent-ils hypersensibilisés en se prenant quasiment pour leur dieu ou son prophète, dans une structure mentale ego-centrée de leur croyance intégriste, en viennent à sentir et se dire, sans possible décalage, douloureusement offensés dans leur identité. De même que critiquer l'OM ou le PSG n'est pas en droit ni en logique insulter leurs supporters, même si certains "fans" excités, sans recul ni cervelle, le ressentent à tort ainsi. L’Etat républicain doit être et rester le garant de l'ordre public et du lien identitaire national, de la laïcité, de la liberté d’expression et de la liberté de pouvoir exercer en privé le culte de son choix.

              

En France, il n’y a, avant tout, que des citoyens français. En privé, ceux-ci peuvent, de surcroît, « croire » ou non. Pourvu que cette croyance reste "civilisée" et tolérante. Qu’elle ne prône ni le crime, ni l’illégalité ni aucune action suprématiste pour s'imposer aux autres ou les éliminer. Blasphémer n’a officiellement pas de sens pour un laïque, car le droit et la loi ignorent les dieux, les totems, le sacré et les tabous dont ils sont « séparés ».

               

Si un dieu, son représentant, un dictateur ou un quelconque "gourou" y appelait au meurtre ou à la soumission, il serait, lui et sa religion, son état, sa secte ou son parti : juridiquement condamnables, poursuivis et condamnés. Y compris devant les juridictions internationales. Des dissolutions ont déjà été prononcées, d’autres nécessaires vont sans doute suivre. 

               

La France des Lumières, permet certes de croire à titre privé, dans le cadre de la liberté de conscience, mais elle est contre tout totalitarisme intégriste et en condamne le prosélytisme. D’ordre actif aussi bien que passif.

 

Hélas, de même qu’il ne sert à rien d’argumenter contre un pervers narcissique parce qu’il ne peut que structurellement croire avoir toujours raison et tendre à se défausser de toute culpabilité en la projetant sur la "victime", pour lui déshumanisée, dont il jouit d'être le bourreau, on ne stoppe pas la paranoïa ou la perversion collective d’un embrigadement idéologique fanatique par l'explication et le raisonnement. Sauf à lui opposer fermement, sans complaisance ni aucune intimidation, le sens transgressif inacceptable de sa démarche par l’interdit et la loi.

                     

Car si le paranoïaque est individuellement fou et irresponsable, c’est qu’il souffre de l’hypertrophie d'un Moi délirant qui a pris toute la place chez lui parce qu'il s'est coupé, sans possible retour, de toute une partie sensible, subjective et inconsciente, de lui-même. Celle qu'il rejette, diabolise et projette chez l'autre dont il se sent du coup par retour menacé. Le pervers lui, pour maintenir sa complicité avec une mère qui rejette l'autorité du père, a besoin de croire et faire croire que c'est son seul désir qui a force de loi. Il en va de même de la formation psychique collective dans laquelle s'inscrit nécessairement tout totalitarisme. Toute manifestation d’endoctrinement totalitariste, pour qui n’est pas fou individuellement et reste donc responsable devant la loi, est nécessairement en appui d’intrication avec l’idéologie meurtrière folle ou perverse d’un collectif déboussolé « commanditaire ».


            C'est ce collectif totalitaire devenu irresponsable et fou qui est à condamner, interdire et dissoudre.

               

 Or, je le répète,  la folie de l’endoctriné n’est pas nécessairement  individuelle mais collective. Individuellement les Nazis n'étaient pas "fous" ni irresponsables. Et pourtant...  Le terroriste, son sympathisant et son commanditaire, comme le Nazi jadis, restent donc le plus souvent bien individuellement responsables, donc coupables, de leurs actes contre nature et contre l’humanité.

       

Cette appartenance identificatoire et l’intégration des valeurs « folles » de l’idéologie totalisante qu’elle induit, lui procurent l’illusion de la guérison immédiate de ses misères, souffrances et faiblesses identitaires en lui conférant, absence de culpabilité, grandeur et gloire narcissique par identification imaginaire au « Moi » collectif exalté et exaltant.

          

C'est en cela que le totalitarisme est contagieusement séducteur. Il fait son beurre sur l’immaturité, la fragilité identitaire, la misère sociale et mentale et l'humiliation humaine. Tous ces supports sont au besoin provoqués, entretenus et activés, comme on le voit dans bien des pays musulmans, là où des chefs de partis extrémistes montent leurs adeptes et de pauvres bougres en souffrance contre nous. C'est comme une drogue. On y perd de la raison, de la santé et de la liberté intérieure mais on y gagne de la jouissance abrutissante immédiate. Et ça rend "addict" à moindre coût. "L'opium du peuple" disait Freud. 

                

Dès lors, comme toute drogue interdite,elle est en marge des lois. : Elle a ses producteurs qui en vivent bien, ses fournisseurs, ses dealers prosélytes, petits et grands et ses ... consommateurs, malheureux « pigeons »utiles à illuminer qu'on essaie de séduire, d'appâter et d'instrumentaliser.

                

C'est ce qu'on peut constater à travers l'orchestration de toutes ces manifestations d'agressivité offensée en ce moment dans des pays du monde musulman.  Celles-ci  prennent comme un sens implicite de « fatwa » meurtrière barbare contre la France et les français parce qu'ils dérangent en tant qu'empêcheurs de totaliser idéologiquement en rond, résistent et refusent de se plier. 

                

Des groupes islamistes intégristes très actifs, instrumentalisés par des pouvoirs en place voudraient pouvoir embrigader tous les musulmans dans le « Califat » mondialisé d’une grande cause moyenâgeuse obscurantiste pour mieux régner sur eux. A cet effet, ils fanatisent des foules en délire hystérique contre la France. On le voit notamment au Bangladesh, au Pakistan, au Qatar, en Egypte, en Iran, dans la Turquie orchestrée par une présidence dictatoriale sautant sur tout moyen d’asseoir son pouvoir et de redorer son blason (3), au Yémen, en Tchétchénie (4), en Palestine et, bien sûr, dans la diaspora contre-culturelle initiée par les salafo-islamistes d’Arabie saoudite et d’ailleurs et infiltrée genre cinquième colonne contre-culturelle dans notre territoire national et nos quartiers « perdus » de la République. Jusqu'à un ancien premier ministre de Malaisie de 95 ans qui appelle de façon imaginairement irresponsable -rien que ça- à tuer des "millions de Français". A quand la menace de notre éradication nucléaire ?

                 

On a, ainsi visible et à découvert par l’occasion de leur pas en avant, la liste et les noms. A l’évidence, ils sont des commanditaires co-responsables devant la justice internationale des Hommes des crimes barbares qui ont été, sont et seront encore commis par leur idéologie au nom de la prétendue cause divine islamiste dévoyée qu’ils affichent.

                 

C'est classique. Le totalitarisme se constitue comme un immense Moi infantile tout puissant par la mise attractive et jouissive en "comm’ UN" "mégalo" d'un "même" objet d'amour, incarné par un "Dieu-Guru", et un même objet de haine sur lequel les membres projettent tous leurs « mauvais » penchants, en se déshumanisant et se déresponsabilisant. L'idéal narcissique exaltant d'une jouissance promise soutenue par le collectif pervers sans aucune culpabilité advient alors.

               

Même le pauvre type, le raté, celui qui est comme on dit « en perte de repères » (et d’un point de vue psychanalytique en perte de père), délinquant ou pas, en revêtant l’uniforme mental de l’idéologie fasciste, peut se croire d’un coup "magiquement" promu en fier héros invincible. Un formidable court-circuit évolutif!

              

Dès lors, on l'aura compris, l'idéologie s'attise, se diffuse, fait son chemin empoisonné d'infiltration, et produit telle une pieuvre, ses effets terrorisants imprévisibles de dangereuse conquête destructrice sanguinaire.

                

Pas besoin de commandos, pas besoin d'intendance, d’armes sophistiquées, ni de grande stratégie militaire planifiée.  Le poison idéologique étant lancé, il se diffuse. Les déclenchements de passage à l'acte induits peuvent essaimer au gré des impactés de l'endoctrinement manipulatoire de cette idéologie collective guerrière à éradiquer. Mais c’est toujours en lien avec le collectif dont elle procède. Ce ne peut être une action isolée. Pas de « loup solitaire » donc.

              

Mais nous, la France, pourtant en Europe, nous apparaissons encore bien trop seuls dans nos courageuses convictions et positions. Pourquoi ? Et jusqu’à quand ?

             

Il nous appartient de tenir bon sans fléchir et peut-être aussi de provoquer le rassemblement effectif de nos alliés et partenaires européens occidentaux. Pour faire bloc ferme et uni.

 

                                                                                      Michel Berlin

 1er novembre 2020 

 

 

 

 

(1) Le CFCM reconnait qu’en France les musulmans ne sont pas persécutés :

https://www.lepoint.fr/societe/boycott-des-produits-francais-le-cfcm-defend-l-interet-du-pays-26-10-2020-2398070_23.php

(2) Une tribune du monde précise que les valeurs de la France sont méconnues en pays musulman

 https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/10/31/il-faut-cesser-le-boycott-de-la-france_6058042_3232.html                      

(3)  Erdogan se rêverait-il, calife à la place du calife, une sorte de nouveau Khomeyni de tous les musulmans ?

        https://www.lemonde.fr/blog/filiu/2020/11/01/erdogan-contre-macron-en-echo-de-khomeyni-contre-rushdie/

(4) En Tchétchénie un Grand Mufti menaçant incite au meurtre en appelant les fidèles à demander des comptes aux français qui doivent répondre pour le président Macron

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/10/30/des-milliers-de-musulmans-protestent-contre-emmanuel-macron-au-  bangladesh-au-pakistan-et-dans-les-territoires-palestiniens_6057968_3210.html

 

(5) Inciter au meurtre au nom d'un Dieu, ou son prophète, offensé et vengeur qui promettrait à des assassins barbares de se "taper" des vierges au paradis, voilà qui ne peut qu'aller dans le sens de l'analyse selon laquelle ce n'est pas forcément Dieu qui crée l'Homme à son image mais bien l'Homme prétentieux qui trop souvent croit en un Dieu qui serait à la sienne...

 

 

                  

 

                  

 

                    

 

                  

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